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Questions fréquentes

1. Qu’est-ce que le chocolat Marou ?

Le chocolat Marou, c’est une histoire un peu à part dans le monde du cacao. Deux Français passionnés sont tombés amoureux du Vietnam et de ses fèves, et ont décidé de créer leurs propres tablettes directement là-bas.
Tout est fait selon la méthode bean-to-bar : on part des fèves brutes pour arriver à un chocolat fini, sans détour ni ajout inutile. Les tablettes mettent en valeur le goût unique de chaque région. Pas de lécithine, pas d’arômes artificiels, juste du cacao et du sucre. C’est un chocolat qui raconte vraiment quelque chose à chaque bouchée.

2. D’où viennent les fèves de cacao utilisées par Marou ?

Les fèves viennent exclusivement du Vietnam, mais pas d’un seul endroit. Marou travaille avec plusieurs régions : Bến Tre, Tiền Giang, Lâm Đồng, Đồng Nai, Bà Rịa… Chacune a son terroir, son climat, et ça change tout au goût. Les cacaoyers sont cultivés par de petits fermiers, souvent dans des plantations mélangées avec d’autres arbres, ce qui respecte la nature.

Les fondateurs vont directement sur place, achètent sans passer par des intermédiaires et paient un prix juste. Résultat : un cacao d’une qualité remarquable, qui garde toute sa personnalité jusqu’à la tablette.

3. Quels sont les avantages du chocolat Marou ?

Marou, ce n’est pas juste un bon chocolat : c’est aussi une façon de produire plus respectueuse. Les tablettes sont 100 % naturelles, fabriquées sans lécithine ni conservateurs. La méthode bean-to-bar permet de tout contrôler, de la fève à la tablette, ce qui assure un goût constant et pur. En plus, les achats se font directement auprès des producteurs vietnamiens, à un prix qui leur permet de vivre correctement.

Côté saveurs, c’est un vrai voyage : chaque région a son profil aromatique. Et pour couronner le tout, les emballages sont beaux, écoresponsables et racontent l’histoire du cacao.

4. Quels types et goûts de chocolats propose Marou ?

La plupart des tablettes Marou sont du chocolat noir, avec différents pourcentages de cacao, souvent entre 65 % et plus de 80 %. Chaque origine a son style : certaines tablettes sont très fruitées, d’autres plus rondes, avec des notes d’épices, ou encore intenses et boisées.
Il existe aussi un chocolat au lait très fin, travaillé avec le même soin. Marou aime surprendre avec des éditions limitées ou des collaborations qui sortent un peu des sentiers battus. C’est une marque qui donne envie de goûter toute la collection pour voyager à travers les régions du Vietnam.

6. Comment Marou travaille-t-il avec les producteurs ?

Marou a choisi un modèle direct : pas de grossistes, pas d’intermédiaires. Les fondateurs rencontrent eux-mêmes les producteurs, discutent, goûtent les fèves, négocient un prix juste et constant. Ils accompagnent aussi les fermiers sur la fermentation et le séchage, deux étapes cruciales pour un bon chocolat.

Cette proximité crée une vraie relation de confiance et permet à la marque de garantir une traçabilité parfaite. Le cacao qui arrive dans l’atelier de Marou a déjà été choyé à la ferme. Ce lien humain, c’est une des raisons pour lesquelles les tablettes ont un goût si particulier.

7. Qu’est-ce qui rend le chocolat Marou artisanal ?

Chez Marou, tout est fait en petites quantités, avec le souci du détail. Les fèves sont torréfiées doucement pour révéler leurs arômes, puis broyées et travaillées jusqu’à obtenir une texture parfaite.
Pas d’ingrédients superflus : seulement du cacao, du sucre de canne, et parfois du lait. Même les emballages sont conçus avec soin, souvent imprimés à la main. Cette façon de travailler permet de préserver le caractère unique de chaque origine. On est loin d’un chocolat industriel : ici, chaque tablette porte la signature du terroir et du savoir-faire de ceux qui l’ont façonnée.

5. Le chocolat Marou est-il bio ?

Toutes les fèves utilisées par Marou sont cultivées de manière naturelle, souvent sans produits chimiques, mais toutes ne sont pas certifiées “bio” officiellement. Les fondateurs privilégient le bon sens et la qualité du travail des fermiers, plutôt que la course aux labels.

Beaucoup de plantations fonctionnent en agroforesterie, ce qui protège la biodiversité et la fertilité des sols. Même sans certification partout, on sait d’où vient chaque fève et comment elle a été cultivée. Et sur certaines tablettes, quand les conditions sont réunies, le label bio est bien présent.